2 réflexions sur « >Retour sur…. Les désobéissants en psychiatrie (France Culture) »

1. J'ai écouté les pieds sur terre, notamment aujourd'hui le jeudi 13 octobre 2011. On a des cas concrets, des paroles d'expériences et cet engagement du psychiatre interrogé. Vous savez quand on décide d'hospitalisé quelqu'un, de lui prodiguer des soins sans son consentement, il faut l'avoir vécu plutôt soi-même, en tant que patient. En plus quand on se heurte, avant, pendant ou après à des gens changeants (parfois trop gentils, parfois fortement susceptibles,..) On ne peut le prévoir, on ne peut pas mesurer l'action nerveuse qui pèse sur soi, dans ces moments là, ni percevoir ce que ça change dans la relation, ou dans l'idée qu'on se faisait le plus souvent dans sa relation à l'autre. La durée réelle d'une relation, la difficulté à résister à certaines réactions, que l'on ne comprend pas, en tout cas, qu'on ne perçois pas, jamais pareille. Oui, la relation disons faussée, même et je dirais surtout quand à priori, ça a tendance à bien se passer malgrès le nombre d'hypocrisie , le nombre impressionnant de critiques fallacieuses qu'on se prend sans trop y comprendre, s'y retrouver..Quant au rapport à la norme, bien malin celui ou celle qui le possède de façon standard, de façon qu'il soi disons un rapport à du sur-mesure. Il y des rapports théoriques en langage psychiatrique, des rapports méticuleux, très précis, mais qui ne fonctionnent jamais sinon il n'y aurait pas de rapports incertains, insuffisants, de mauvais et nuisibles relations. Le rapport à la normalité n'existe pas vraiment, tous et toutes nous avons une dose de folie, disons même que la personnalité du psychiatre en est aussi un exemple type, lui, il n'accepterai pas le quart de ce qu'un citoyen lamda accepte au quotidien avant de craquer.

2. une psychiatre de sainte-marie à nice paye de son poste sa desobeissance à des lois scélérates

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